Robert Parker et Champagne Henri Giraud: «Je pense que c’est le goût que devrait avoir Krug»

Robert Parker et Champagne Henri Giraud: «Je pense que c’est le goût que devrait avoir Krug»

Champagne Henri Giraud

Juste quelques semaines après les commentaires de Robert Parker sur Champagne Henri Giraud, Claude Giraud vient de réunir des journalistes ainsi que des amoureux du Champagne aux Etats-Unis pour leur présenter le nouvel Argonne 2002. Robert Parker qui a eu la chance de goûter à ce champagne récemment a écrit sur www.erobertparker.com : « A 3/4s pinot noir, 1/4th chardonnay barrel aged cuvee that is the way I think Krug SHOULD taste (too many recent VINTAGE KRUGS have been too oxidized for my taste, hence I prefer their Grande Cuvee). This is pedal to the metal, balls to the walls full-bodied, nutty, rich and decadent Champagne, and as rich as wines from this region can be-Grand Cru white Burgundy with bubbles might be a better analogy. Just a spectacular Champagne…« .

Comme le magazine Terre de Vins le mentionne (lire l’article), il y a actuellement beaucoup d’actualités au sujet de Champagne Henri Giraud et notamment son titre « Maison de Champagne de l’année 2013» décerné par le magazine international Fine Wine. De plus, bénéciant de l’aide précieuse de l’ONF (Organisme National des Forêts), les Ateliers de la Maison de Champagne Henri Giraud révèleront, en première mondiale le 22 Avril prochain, les résultats d’un quart de siècle de recherches consacrées à la vinication de grands vins en fûts de chêne. De grands professionnels du vin de tous les continents se réuniront pour valider ces travaux bénéciant de l’aide précieuse de l’ONF.

Concernant cette initiative, Claude Giraud a déclaré: « L’histoire ne connait pas de grands vins qui ne soient liés à une grande forêt. Cependant, j’ai toujours été frappé par une incohérence: les grands vinificateurs, très sélectifs et rigoureux par nature, multiplient les tonneliers dans leurs chais. Notre travail avec le mérandier Camille Gauthier, acteur engagé dans la traçabilité des forêts depuis quarante ans, démontre que cette approche frustrante est finalement une impasse. Elle exprime une souffrance des vinificateurs car malheureusement, en 2013, le process de traçabilité des forêts françaises est à l’état embryonnaire. Il y a eu très peu d’avancées depuis les années 1960. Le fruit de nos recherches pourrait être à l’origine d’une révolution nécessaire et attendue pour la vinification de grands vins et, certainement, pour l’exploitation forestière. »

Lire l’article « Champagne Henri Giraud, aux racines du terroir »

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